Lu sur Medisite.fr
Une étude menée par des chercheurs français confirme une nouvelle fois l’impact néfaste d’un certains type de médicaments sur le cerveau. Ils augmenteraient le risque de démence, déjà soupçonné par le passé.
Or, ces psychotropes font partie des médicaments les plus consommés en France, contre de multiples maladies comme les troubles du sommeil ou la dépression. Ils sont particulièrement utilisés par les plus de 65 ans (30% de cette population selon l’Inserm). De nombreuses études ont déjà mis en lumière de nombreux effets secondaires (étourdissements, chute) et notamment le risque de démence car cette molécule interagit avec des neurotransmetteurs du cerveau. Mais beaucoup de questions restaient en suspens, et cette nouvelle étude établit clairement un lien de cause à effet.
Choisir de préférence une autre alternative
Pour en venir à ces conclusions, les chercheurs se sont fondés sur des données issues d’une précédente étude. Menée en France, cette dernière visait à suivre 8.240 personnes âgées de plus de 65 ans pendant huit ans. Les chercheurs ont enregistré le nombre de cas de démence (830 durant l’étude) et enregistré tous les médicaments consommés par les patients. En combinant ces données, ils ont fait le rapprochement, sans que cela ne soit explicable par d’autres facteurs.Il y a clairement une différence de signal entre benzodiazépines à durée de vie longue et celles à durée courte », déclare Christophe Tzourio, le directeur de recherche.
- les plantes sédatives (camomille, verveine et une mention spéciale pour le tilleul qui a bien d’autres propriétés),
- les merveilleuses huiles essentielles (lavande fine, marjolaine, petit grain bigaradier),
- l’homéopathie et les oligo-éléments (dont l’incontournable lithium qui peut aider également au sevrage des benzodiazépines),
- l’acupuncture et les méthodes réflexologiques notamment faciale (Dien Chan) qui permettent un auto-traitement aisé,
- les activités de déconnexion du stress et des troubles anxieux : yoga, Qi Gong, sophrologie, méditation, hypnose, activité sportive, …
Bien sûr, chaque cas est différent et selon l’ancienneté et l’intensité des troubles, il est nécessaire de consulter un professionnel de santé compétent, qui sache être à l’écoute et ne pas avoir la prescription chimique trop facile.
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